Les outils indispensables pour faire une chape en béton

Avant tout, vous devez savoir que la chape est différente de la dalle en béton. C’est plutôt une couche de mortier composée de liant, d’eau et de sable, qui est installée au-dessus de celle-ci. Elle sert à :

• Assurer la protection des tubes de conduite d’eau.
• Accueillir un revêtement de finition.
• Couvrir l’existant pour le lisser ou corriger son niveau.
• Renforcer la portance d’un plancher.

Parfois, elle peut même former la surface finie, par exemple dans le cas d’une chape lissée ou décorative.

Pour réaliser votre chape en béton comme il se doit, les plateformes spécialisées dans les travaux du bâtiment comme ce site qui sont riches en conseils et astuces pratiques vous conseillent d’abord de réunir quelques outils, dont :

• Une bétonnière : un bac de mélange est suffisant si vous souhaitez rénover une petite superficie.
• Une truelle ou une taloche.
• Une brouette et une pelle.
• Des seaux.
• Un niveau à bulle ou un laser.
• Un râteau ou une raclette.
• Un cordeau à tracer.
• Un mètre ruban.
• Un tube carré ou un fer plat.
• Des gants et des lunettes de protection.
• Un crayon de maçon.

Si vous disposez de ces équipements, il vous reste encore à rassembler les matériaux pour réaliser la chape. Vous avez ainsi besoin de :

• Du ciment.
• De l’eau.
• Du sable.
• Du gravier (facultatif selon le type de chape).

Des adjuvants et additifs pour faciliter sa mise en place et pour augmenter la résistance aux fissures peuvent aussi être utiles.

Le dosage idéal pour faire une chape béton

Pour assurer votre projet de chape en béton, voici quelques points que vous devez retenir :

Le dosage

Pour une chape traditionnelle, mélangez 1 volume de ciment avec 3 ou 4 volumes de sable et 0.5 volume d’eau. Par exemple, si vous envisagez un ouvrage de 1m3, vous devez rassembler 300 kg de ciment, 900 à 1200 kg de sable et 150 à 180 litres d’eau.

Pour une chape fluide, le dosage de ces éléments et d’autres matières, comme le sulfate de calcium, l’activateur ou le fixateur, peut varier en fonction des besoins de la construction.

L’épaisseur à prévoir

Ce paramètre dépend de la technique employée :

• Pour une chape adhérente, c’est-à-dire collée à la dalle, 3 à 5 cm suffisent.
• Pour une chape désolidarisée, avec la présence d’un film plastique entre la dalle et la couche de mortier, l’épaisseur recommandée est de 5 à 6 cm.
• Pour une chape flottante, qui est installée sur un isolant, il faut au minimum 6 cm.

Le temps de séchage

Le temps de séchage de la chape en béton est de 2 à 8 semaines. Ce temps peut être influencé par plusieurs facteurs, dont :

• La composition de la chape,
• Son épaisseur,
• Les conditions météorologiques.

Ce n’est pas si facile de faire des économies

Se contrôler, contrôler son budget, c’est ardu, c’est un fait. Mais arriver à le faire vous donnera un tel sentiment de liberté, de légèreté ! Plus de remboursement à effectuer toutes les fins du mois, plus d’angoisse qui vous brûle à l’estomac en pensant à tous les intérêts cumulés qu’il va falloir payer…Alors, la seule solution qui s’impose à vous, comme à toute autre personne qui souhaite faire des économies, c’est mettre de l’argent de côté. Cette somme n’a pas besoin d’être monumentale ou même importante, même un montant modique est toujours avantageux. Et alors, vous pouvez commencer à élaborer des projets, à fixer des objectifs que vous pourrez vraiment vous payer, au bout de quelques temps, avec cet argent économisé.

Comment mettre un peu de sous de côté ?

Pensez à prendre des mesures toutes simples, qui à première vue, peuvent vous sembler insignifiantes, mais qui, à la longue, porteront leurs fruits.

Réduisez les sorties au resto

Au lieu de vous rendre au restaurant tous les soirs en rentrant du travail, parce que c’est bien plus pratique et que ce chinois prépare l’un de vos plats préférés, cuisinez chez vous. Achetez fruits et légumes à bon prix, peut-être en les achetant en gros, ce qui revient généralement moins cher. Evitez les plats prêts à consommer, optez pour des produits frais. Profitez des rabais et promotions des épiceries et des grandes chaînes. De cette manière, vous verrez qu’à la fin du mois, vous aurez réalisé des économies nettement substantielles.

Vous pouvez économiser sur l’énergie

On pense à tort que laisser les lumières allumées quelques minutes ou quelques heures par jour ne coûtent pas grand-chose, ce qui est tout à fait faux ! Si vous n’en avez pas besoin, éteignez aussi le chauffage et la climatisation, et optez pour les fenêtres ouvertes lorsqu’il fait trop chaud ou des vêtements bien couvrant quand il fait frais.

Moins de dépenses en carburant

Pour pouvoir mettre encore un peu plus d’argent dans votre tirelire, pensez à prendre le transport en commun le plus souvent possible au lieu de votre véhicule personnel. Car à part le remboursement de votre prêt voiture, il faut mettre de l’essence dedans et assurer l’entretien régulièrement, ce qui revient cher à la longue. Gardez vos sous en empruntant le métro, le tramway, le bus ou encore le train. Et pourquoi ne pas prendre le vélo ou même aller à pied pour vous rendre au travail ?

Faire un inventaire à domicile

Il est tout à fait possible de réaliser un inventaire à domicile. Pour ce faire, vous devez faire appel au service d’un expert. Ce dernier va alors examiner à la loupe vos objets sous tous les angles, dans le but de détecter le moindre détail qui n’est pas forcément visible sur les photos. Cette procédure va également lui permettre de déceler des objets de collection, dont vous ne vous doutiez probablement même pas la véritable valeur. Pendant que l’inventaire à domicile a lieu, l’expert pourra donc avoir une vision de votre patrimoine dans sa globalité. Puis, il sera à même de vous éclairer de ses conseils selon votre cas (c’est-à-dire selon votre situation et vos interrogations relatives à la vente, à l’assurance, à la succession ou encore au partage.). Par la suite, avec l’aide de l’expert, vous allez pouvoir dresser l’inventaire estimatif de vos objets en valeur marché et/ou en valeur d’assurance.

Faire un inventaire pour une bonne gestion de succession

Les litiges entre les successeurs sont des cas assez fréquents lors d’une succession. Grâce à l’inventaire de vos objets d’art et de collection, que vous comptiez transmettre, il est possible de faire en sorte que ces fâcheries n’aient pas lieu. Votre notaire et les commissaires-priseurs doivent alors travailler en étroite collaboration. Avec votre compagnie, ces derniers procèdent à l’inventaire de vos œuvres d’art, de vos objets et bijoux précieux, ainsi que de votre mobilier. À la fin de la procédure, vous devez obtenir un rapport bien précis. Ce document vous permettra dès lors de définir l’option fiscale qui est la plus adéquate à votre situation. Puis, en fonction de la valeur de vos biens, vous allez pouvoir procéder à un partage ou à une donation.

Faire un inventaire et s’acquitter des droits de succession

Quand le propriétaire des objets d’art et de collection est décédé, les héritiers ont le devoir de s’acquitter de leurs droits de succession. Si ces objets n’ont pas été préalablement inventoriés, les héritiers doivent donc s’en occuper. Ainsi, ils doivent faire appel à un notaire. Celui-ci est tenu d’évaluer l’ensemble du patrimoine du décédé, pour pouvoir faire le calcul de la part qui revient à chaque héritier. Le patrimoine inclut plus précisément les biens immobiliers et les biens mobiliers. Les sculptures, les tableaux et les dessins sont alors classés dans la catégorie des biens mobiliers. Il est aussi à noter que l’inventaire permet de réduire le coût de droits de succession à payer.

Les types de transport pour déménagement

Côté transport, le choix est plutôt large. Vous pouvez choisir entre camion, camionnette, fourgon ou encore utilitaire d’occasion. Le point le plus important pour choisir un véhicule est avant tout le prix. Vous ne pouvez pas vous ruiner dans le transport lors de votre déménagement. Cependant, penser au prix n’est pas suffisant, il faut également prendre en compte la taille du véhicule qui est capable de transporter toutes vos affaires. C’est très important, car si vous vous concentrez seulement sur le prix, vous pourrez en dépenser davantage. En effet, si le véhicule que vous avez choisi est trop petit, il faut que vous en appeliez un autre ou bien que celui-là refasse un tour. Donc, quand vous devrez choisir un véhicule pour votre déménagement, il faut bien étudier le prix et la capacité volumétrique de celui-ci.

Faire appel à une agence de déménagement

À part l’aide précieuse de votre entourage et celui de votre famille, faire appel à des professionnels du déménagement s’avère être une bonne idée. En effet, l’organisation ainsi que la réalisation d’un déménagement requièrent beaucoup de temps et de concentration. C’est pour cela que se faire aider par une entreprise de déménagement est une idée que l’on vous conseille vivement. En vous confiant à des professionnels, vous n’avez plus à vous en faire pour trouver le véhicule qui vous convient. En plus de l’organisation, ils se chargent de mettre à votre disposition le véhicule pouvant contenir toutes vos affaires et s’assurer de leur arrivée à bonne destination, dans votre nouveau logement.

Les facteurs qui influencent le prix d’un nettoyage de façade

Le mieux est de demander directement au professionnel le prix du nettoyage de façade qu’il applique. Ceci étant, la connaissance des facteurs qui entrent en ligne de compte dans la détermination du prix présente un avantage. On peut mieux apprécier le devis présenté par l’expert. Voici les éléments pouvant influencer le coût des travaux.

Le type de matériau

Certaines surfaces nécessitent des traitements spécifiques et plus d’attention. Par exemple, une façade en pierre demande souvent des produits doux. À la différence, une façade en béton peut supporter un nettoyage à haute pression.

La superficie à nettoyer

Plus la surface est étendue, plus le travail demandera de temps, de ressources et donc un budget plus élevé.

Par ailleurs, une façade difficile d’accès, située en hauteur ou entourée d’obstacles, nécessitera souvent des équipements spécifiques. Le professionnel devra utiliser, par exemple, des nacelles ou un échafaudage. Le matériel fait grimper la facture.

Les techniques de nettoyage utilisées

S’agit-il d’un nettoyage chimique, à haute pression ou d’un sablage ? Chaque méthode a ses avantages et ses coûts propres. Le choix dépend de la nature des salissures présentes sur la façade.

Enfin, l’expert prend également en compte l’état de la façade avant nettoyage : plus elle est dégradée, plus le nettoyage sera complexe et donc coûteux.

Une estimation des coûts en fonction de différents critères

Les prix présentés ici sont donnés à titre purement indicatif, en fonction de ce qui est appliqué en moyenne sur le marché. Rien ne vaut le devis présenté par une entreprise de nettoyage de façade.

Estimation selon les techniques de nettoyage de façade

• Un nettoyage haute pression coûte généralement entre 10 et 25 euros par mètre carré. Cette méthode est bien adaptée aux surfaces robustes comme le béton.
• Un nettoyage chimique peut varier de 11 à 35 euros par mètre carré. Cette technique permet de venir à bout des salissures tenaces.
• Le gommage de la façade se situe entre 30 et 70 euros par mètre carré.
• Le sablage, le ponçage, le peeling ou la nébulisation sont estimés à environ 40 euros par mètre carré.
• L’aérogommage, une méthode douce et respectueuse du support, coûte entre 25 et 50 euros par mètre carré.
• L’hydrogommage, une technique plus délicate, mais efficace, oscille entre 30 et 60 euros par mètre carré.

Estimation selon l’état de la façade

Pour un mur de façade en parfait état, les prix commencent entre 20 et 40 euros au mètre carré, selon la méthode et le type de matériau.

Les réparations mineures nécessaires avant le nettoyage peuvent augmenter les coûts. Par exemple, si la façade présente des petites fissures ou un début de dégradations, un nettoyage accompagné de réparations mineures peut coûter entre 60 et 100 euros par mètre carré.

L’état de la façade avant nettoyage est aussi pris en compte : plus elle est dégradée, plus le nettoyage sera complexe et donc coûteux.

Conditions idéales pour un goyavier heureux

Avant de se lancer, mieux vaut s’assurer que votre jardin a les bonnes conditions :

• Climat : Bon, le goyavier adore la chaleur, on ne va pas se mentir. Si vous êtes dans le Sud, c’est parfait ! Ailleurs, il faudra peut-être le cultiver en pot et le rentrer en hiver.
• Exposition : Donnez-lui un maximum de soleil. Pas de coin à l’ombre, il est plutôt du genre “plein soleil” !
• Sol : Un sol léger et bien drainé, c’est l’idéal. Si votre terre est un peu lourde, mélangez-y du sable et du compost pour l’aérer.

Quelle variété de goyavier choisir ?

Pas toutes les variétés ne supportent bien nos hivers. Voici celles qui s’en sortent le mieux :

• Goyavier de Chine : Plus résistant, il donne des petits fruits rouges. Un bon choix pour nos régions plus fraîches.
• Goyavier commun : Celui-là est plus gourmand en chaleur, mais il produit les grandes goyaves jaunes qu’on connaît bien.

Planter son goyavier

• Préparation du sol : On commence par enrichir la terre avec un peu de compost. Le goyavier, ça pousse mieux quand ça trouve des nutriments dans le sol.

En pot ou en pleine terre ?

• En pot : Pratique pour ceux qui n’habitent pas le Sud, et en plus, on peut le déplacer selon les saisons !
• En pleine terre : Parfait si vous avez un climat doux. Mieux vaut le planter au printemps pour qu’il ait le temps de s’enraciner.
• Comment faire ? : Creusez un trou assez large, plantez votre goyavier, tassez bien la terre autour et arrosez généreusement. Voilà, il est en place !

Quelques conseils d’entretien

• Arrosage : Régulier, mais sans excès. En été, on arrose plus souvent ; en hiver, on réduit un peu.
  Fertilisation : Un peu d’engrais organique au printemps ne lui fera pas de mal. Ça lui donne un bon coup de boost !
• Protéger du froid : S’il est en pleine terre, pensez au paillage et au voile d’hivernage. En pot, un petit coin abrité fait l’affaire.

Attention aux petites bêtes !

Les goyaviers ne sont pas super capricieux, mais ils attirent parfois les pucerons ou les cochenilles. Un petit spray d’eau et de savon noir, et hop, plus de soucis !

Récolter vos premières goyaves

Alors, après quelques mois de patience, vous pourrez enfin récolter vos goyaves ! Quand elles commencent à se détacher facilement et sentent bon, c’est le moment de les cueillir.

Que faire avec vos goyaves ?

Riches en vitamines C et délicieuses, vous pouvez les manger comme ça ou les transformer en jus, confiture, dessert… Le goût frais et sucré de la goyave ajoutera une touche tropicale à votre cuisine.

Privilégier un confort simple mais efficace

À la campagne, on vient pour se reposer et déconnecter. Alors pour le matelas, on veut quelque chose qui assure un bon soutien, sans forcément investir dans un modèle super haut de gamme. Les matelas en mousse à mémoire de forme peuvent être une bonne option : ils sont confortables, durables, et pas trop lourds si jamais vous avez besoin de les déplacer. Pour ceux qui aiment un peu de ressort, les matelas hybrides (mousse et ressorts combinés) sont aussi un bon choix. Le tout, c’est que le matelas reste accueillant, même si vous n’êtes là que de temps en temps.

Penser aux conditions d’humidité

Beaucoup de maisons de campagne ne sont pas chauffées toute l’année. Si la vôtre est un peu fraîche ou que l’air y est parfois humide, ça vaut le coup d’opter pour un matelas qui respire bien. Les matelas en latex naturel, par exemple, sont connus pour leur bonne ventilation et leur résistance à l’humidité – en gros, ils évitent les mauvaises odeurs et les moisissures, même dans des conditions un peu humides.

La housse lavable : un vrai plus

Avec les va-et-vient, les visites de famille, sans parler des amis ou des petits-enfants qui débarquent, une housse lavable et déhoussable peut vraiment vous faciliter la vie. Pas besoin de traitements spéciaux, juste un tour en machine de temps en temps et le matelas reste propre. Une option super pratique pour garder un lit frais sans trop d’efforts.

Garder un œil sur le budget

Enfin, pas la peine de se ruiner pour une maison secondaire. Si vous n’êtes pas là tous les jours, privilégiez un matelas avec un bon rapport qualité-prix. Les matelas en mousse avec une bonne densité feront largement l’affaire pour des séjours occasionnels, et vous ne sacrifierez pas pour autant le confort.

Avec ces conseils, vous voilà prêt pour de bonnes nuits de sommeil dans votre maison de campagne, sans prise de tête. Que ce soit pour un week-end ou plusieurs semaines, un bon matelas change tout !

Choisir le bon citronnier… ça change tout

Si vous voulez un citronnier qui s’épanouisse bien en intérieur, mieux vaut choisir une variété adaptée. Le citronnier Meyer, par exemple, est souvent recommandé pour la culture en pot, car il reste de taille modeste et s’adapte bien aux conditions en intérieur. Plus il reste compact, mieux c’est, surtout si l’espace est limité.

Du soleil, du soleil et… du soleil !

Le citronnier adore le soleil, donc trouvez-lui une place près d’une fenêtre bien exposée. Il lui faut au moins 6 heures de soleil direct par jour. Si possible, une fenêtre au sud, c’est le top. Et en hiver, si vous sentez qu’il manque de lumière, une petite lampe de croissance peut lui donner un coup de pouce. Parce que oui, un citronnier sans soleil, ça devient vite tristounet !

L’arrosage : trouver le bon équilibre

Avec les citronniers, c’est un peu comme Goldilocks : il ne faut ni trop ni trop peu d’eau, mais juste ce qu’il faut. L’astuce, c’est de vérifier que la terre reste légèrement humide sans être détrempée. Laissez sécher le dessus de la terre entre deux arrosages, et en hiver, réduisez un peu, car il pousse moins. Trop d’eau, et les racines risquent de pourrir ; pas assez, et il dépérit. Bref, un juste milieu !

Un peu d’engrais pour des citrons juteux

Si vous voulez des citrons bien juteux, votre petit arbre aura besoin de nutriments. Les agrumes aiment un engrais spécial agrumes (oui, ça existe !). En général, on en met tous les mois ou tous les deux mois pendant la période de croissance, surtout au printemps et en été. Ce n’est pas obligatoire, mais ça peut vraiment aider pour obtenir des fruits plus rapidement.

Attention aux petites bêtes !

Les citronniers en intérieur sont souvent la cible des pucerons ou des cochenilles. Si vous voyez de petites bestioles, ne paniquez pas : un peu d’eau savonneuse sur les feuilles, et ça les calme bien. En cas d’invasion, une douche à l’eau tiède (si possible !) peut aussi les décourager. Juste un petit coup de nettoyage de temps en temps et ça roule.

L’hiver : un peu de repos

En hiver, votre citronnier entre en phase de repos, alors pas besoin de trop s’en occuper. Réduisez l’arrosage, mettez-le à un endroit un peu frais si possible, et laissez-le tranquille. Il vous remerciera avec une nouvelle pousse au printemps !

Et voilà ! Avec ces conseils, vous pouvez faire pousser un citronnier en appartement et profiter de vos propres citrons, même sans jardin. Un peu de soleil, un arrosage bien dosé, et vous êtes prêt !

Construire un hôtel à insectes

Les insectes, on a parfois tendance à les voir comme des nuisibles, mais beaucoup d’entre eux sont essentiels pour l’équilibre de notre jardin. Un hôtel à insectes, c’est parfait pour attirer les abeilles solitaires, les coccinelles et bien d’autres alliés. Vous pouvez le faire avec des matériaux simples : du bois, des tiges creuses, des pommes de pin… Le but, c’est d’avoir plusieurs “chambres” où les insectes peuvent se réfugier. Et si vous le fabriquez avec des morceaux de récup’, c’est encore mieux !

Un composteur maison, simple et efficace

Pas besoin d’une installation compliquée pour faire du compost. Avec un vieux bac en plastique ou même une caisse en bois, vous pouvez fabriquer un composteur maison. Mettez-y vos épluchures de légumes, du marc de café, des coquilles d’œuf… et au fil du temps, tout ça se transforme en engrais naturel. En plus de réduire vos déchets, vous faites du bien à vos plantes. Franchement, que demander de plus ?

Créer des “bombes à graines” pour ensemencer facilement

Les bombes à graines, c’est tout simple et super amusant à faire. Mélangez des graines de fleurs locales avec un peu d’argile et de terreau, roulez le tout en petites boules… et voilà, des mini-jardinières prêtes à être lancées un peu partout. Vous pouvez les jeter dans votre jardin ou même dans un coin un peu vide de votre quartier, pour faire pousser des fleurs et aider les abeilles à trouver de quoi se nourrir.

Fabriquer un arrosage goutte-à-goutte avec des bouteilles

Si vous cherchez un système d’arrosage écolo et économique, les bouteilles en plastique peuvent vous sauver la mise. Percez de petits trous dans le bouchon, remplissez la bouteille d’eau, et plantez-la à l’envers dans la terre près de vos plantes. L’eau s’écoule petit à petit et garde le sol humide. C’est idéal pour les périodes où vous êtes un peu moins présent.

Installer une petite mare

Bon, ça peut paraître ambitieux, mais même une toute petite mare fait un bien fou au jardin ! Elle attire les grenouilles, les libellules et d’autres petits animaux qui participent à la biodiversité. Avec une simple bassine enterrée et un peu de gravier, vous pouvez créer un coin d’eau sympa. Ajoutez quelques plantes aquatiques, et le tour est joué.

Voilà, quelques idées pour un jardin écologique et plein de vie. Ces petits bricolages ne demandent pas grand-chose et font vraiment la différence pour la biodiversité. Alors, prêt à enfiler vos gants et vous lancer ?

Le rôle de cet expert

Le facilitateur de travaux est plus qu’un simple intermédiaire entre vous et les artisans dont vous pouvez avoir besoin lorsque vous allez agrandir ou aménager votre maison ou votre immeuble. C’est un véritable chef d’orchestre de la rénovation clé en main. C’est lui qui :

• Sélectionne pour vous les meilleurs ouvriers et professionnels du bâtiment qui vont effectuer vos travaux.
• Coordonne leur planning d’intervention.
• Vérifie la qualité de leurs tâches.

De tels services vous intéressent ? Rendez-vous sur cette plateforme pour trouver votre expert. En travaillant avec un facilitateur de travaux, vous gagnez du temps et vous avez à vos côtés des entreprises de confiance.

Les raisons de le solliciter

Vous avez besoin d’un facilitateur de travaux pour de nombreuses raisons. Il vous fait gagner du temps. Vous n’avez plus à chercher partout pendant des jours et des heures les entreprises qui vont intervenir sur votre chantier. C’est lui qui s’en occupe. D’ailleurs, il travaille déjà avec des entreprises partenaires sises dans le Morbihan et ayant une bonne réputation dans le secteur du bâtiment.

Il met à votre disposition des ouvriers compétents et disponibles : charpentiers, couvreurs, électriciens, terrassiers, agenceurs, etc. Vous pouvez être sûr qu’ils vont réaliser les travaux d’aménagement extérieur ou de décoration intérieure de votre propriété dans les normes et selon vos attentes.

En collaborant avec un facilitateur de travaux, vous avez un interlocuteur unique. Vous pouvez lui exposer vos demandes, les ajustements à faire, etc.

Le déroulement des travaux

Lorsque vous faites appel à un facilitateur de travaux, vous devez lui exposer votre projet. Une fois cette étude effectuée, il va appeler les ouvriers de son réseau. Il les choisit en fonction de leur disponibilité et de leur adéquation avec la rénovation à faire. Il vous donne ensuite le devis détaillé. Enfin, il suit l’avancement des travaux, du début jusqu’à la fin. Vous n’avez qu’à le contacter si vous avez des remarques spécifiques.