Tuteurer les fleurs

Si vous avez les mains vertes, tuteurer les fleurs est une expression, et une activité, que vous connaissez bien. Vous en mesurez la valeur et vous l’effectuez chaque fois que c’est nécessaire. Mais si vous n’en êtes qu’au balbutiement côté jardin ou si vous êtes pratiquement ignorante de l’univers de la nature mais que vous en êtes intéressée, tuteurer une fleur n’a qu’une signification assez vague pour vous. Ou bien vous en saisissez le sens académique mais vous ne savez pas ce que cela implique. Voici en quelques mots ce que veut dire ce terme et les actions qui vont avec.

De quelle façon tuteurer les fleurs ?

Pour tuteurer les fleurs correctement, il vous faut savoir exactement ce qu’il faut faire et à quel moment. L’improvisation n’a pas sa place, sinon vous risquez de saccager ou détruire la plante. En premier lieu, sachez que c’est utile pour les grande plante ne se couchent pas ni ne se cassent en cas de grand vent ou de brusques et violentes rafales. L’astuce, c’est de les soutenir pendant qu’elles sont encore toutes jeunes. De cette façon, elles grandissent tout en suivant le tuteur en douceur. Tuteurer les fleurs de cette manière est conseillé.

Tuteurer les fleurs selon leur nature

Chaque plante et chaque fleur possède ses caractéristiques propres qu’il vous faut respecter afin de les tuteurer comme il faut. Par exemple, tuteurer des fleurs à tiges fines comme les asters, les phlox ou les cosmos requiert quatre piquets à ficher dans le sol, un grillage et une ficelle. Les plantes à touffes ont besoin d’un tuteur en bambou au centre et d’une ficelle également. Et enfin, pour tuteurer les fleurs à longues hampes, chacune doit avoir son tuteur individuel et vous assemblez avec des attaches en forme de huit afin d’éviter le moindre frottement.

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